04 / 11 / 2020
La France est de nouveau confinée, et les sportifs outdoor pleurent leur mère. Tous les sportifs outdoor ? Non, un petit groupe d’irrésistibles Gaulois assoiffés de monotraces, cols à 18%, granit surplombant, torrents tumultueux, pipes aussi parfaits qu’un rouleau de Sopalin, résistent une nouvelle fois à l’empêcheur de transpirer en pleine nature. Ode à l’infamie, à la résistance… à la contredanse, aussi.
En préambule, amis Parisiens1, désolé, mais ce mode opératoire n’est pas fait pour vous. Il s’adresse à ceux qui ont fait le choix de la nature et qui vivent au cœur des campagnes, forêts, littoraux, montagnes et autres vallons inexplorés. Vous, vous avez choisi Anne Hidalgo, c’est bien aussi hein, mais gardez-la, merci. Et pour compléter ce préambule, il faut également préciser que les coureurs de balcons, jardins et cages d’escalier, les pédaleurs de salon et garage, les grimpeurs de sous-pente en grenier, les nageurs de piscine six par trois avec élastique accroché aux pieds, les crossfiteurs de cave humide et les plongeurs en cuisine ne trouveront rien d’intéressant ici. Non, ici on est dans Licence to write, et on va vous parler de sport outdoor, du garanti 0% béton, 0% murs et clôtures, et 100% subversif. On aime quand c’est interdit. Et on n’est pas les seuls.
Ainsi, nous n’en sommes pas au deuxième jour de ce second confinement2 que déjà, sur Facebook, les sportifs s’écharpent3. Deux camps s’opposent farouchement, avec entre les deux des espèces de Casques Bleus plus ou moins neutres qui ne sont ni pour ni contre, mais quand même un peu. Et donc, à ma gauche siègent les Punks de l’Outdoor, avec comme leitmotiv « Allez vous faire foutre avec vos règles sanitaires, je cours si je veux, où je veux, la distance et le temps que je veux » ; à ma droite les Bénis-oui-oui qui pensent que quand même, à situation extraordinaire règles extraordinaires, la santé du plus grand nombre vaut bien quelques restrictions de nos libertés, en particulier de nos libertés sportives qui ne sont quand même pas si importantes que ça. Oubliée la maxime « La course à pied n’est jamais que la plus importante des choses secondaires » de Noël Tamini4. Ce que l’on nous dit (on : notre leader suprême et ses sbires), c’est que non, la course à pied n’a aucune importance, et le reste des sports populaires non plus, en regard de la pandémie qui sévit. D’ailleurs le monde du sport associatif s’en désole, lui qui est en train de crever. Mais nous aurons l’occasion d’en reparler.
Car voilà, par les temps qui courent (mesurent-ils seulement la chance qu’ils ont de pouvoir le faire ?), notre liberté de courir (« Quitte à tout prendre, prenez mes gosses et la télé, ma femme et le canapé, mais vous n’aurez pas ma liberté de courir », salut Florent, ça se passe bien en Patagonie ?5) est limitée. La charte du coureur confiné nous dit qu’il faut courir en solo, en dehors des lieux et heures fréquentés, en maintenant les distances de sécurité avec les autres usagers (deux mètres), dans un rayon d’un kilomètre autour de son domicile, pour une durée d’une heure maximum par jour, en évitant tout contact avec le mobilier urbain, et en respectant l’environnement et la voie publique. Et sans oublier son attestation de sortie remplie par ses propres soins. C’est certes bien cadré, mais je n’en reste pas moins un peu perdu : la charte ne précise pas si j’ai le droit de cracher comme d’habitude mes glaviots verts dans le caniveau et si je peux pisser dans les bois. Dans le doute abstiens-toi aurait dit Zarathoustra6 à une époque où même Michel Drucker ne zonait pas encore sur le PAF7. Bref, pour un gusse qui cherche à s’évader un tant soit peu du monde de merde dans lequel il vit grâce au sport outdoor, cette charte du Bon Sportif Confiné (BSC) n’est pas la panacée – c’est le moins que l’on puisse dire.
Ainsi donc, si nos BSC se plient aux règles, bon gré mal gré et en râlant quand même un peu, nos Punks de l’Outdoor n’en connaissent qu’une, de règle : celle du plaisir immédiat, de la satisfaction de leurs envies – ce sont des jouisseurs égoïstes, des onanistes gonflés à l’endorphine. Grand bien leur fasse : réfréner ses envies, ses besoins primaires, ne conduit à rien de bon, regardez les curés de l’église catholique. Creusons un peu plus : parmi nos Punks, il y a deux grandes écoles – les futés, et les abrutis. Les futés s’adonnent au sport outdoor en s’accommodant plus ou moins des règles précédemment édictées, mais ils le font discrètement ; les abrutis, eux, flirtent aussi avec les règles, plutôt plus que moins, et ils le font savoir à la terre entière. Par esprit de bravade, par vantardise, par besoin de se sentir pour une fois « supérieurs » aux autres, ils fanfaronnent sur le terrain d’abord, sur les réseaux sociaux ensuite. Et on en arrive aux escarmouches dont nous avons déjà parlé, avec insultes et menaces de dénonciation à l’appui. Du pur fun, largement au-dessus de Santa Barbara8.
Notre premier conseil donc à l’encontre des Punks de l’outdoor : pour courir heureux, courez cachés. Disparaissez des radars, débranchez vos applis connectées, portez une tenue de camouflage, sortez la nuit avec la frontale la moins puissante de votre armoire (en plus vous développerez votre vision nocturne, ce qui vous servira lors du déconfinement final en 2024), courez hors sentiers (là aussi votre proprioception vous dira merci). Bien évidemment, de retour après cinq heures de forêt dans votre chez-vous douillet, ne déchargez pas votre séance sur Strava, ou passez votre compte en privé. Et ne vous répandez pas sur les réseaux sociaux en termes new age sur votre sortie longue – reconnexion à la nature, effacement du soi devant le grand tout, énergie sylvestre et spiritualité aquifère –, ce n’est ni bon pour votre discrétion, ni bon pour votre humilité et votre solidarité. Car si vous, vous avez choisi de braver les interdits et de vous offrir de grandes lampées de nature, d’autres n’ont pas fait le même choix, ou n’ont pas la possibilité de le faire (clin d’œil aux trailers parisiens confinés à quatre dans un quarante mètres carrés dans le XIVe arrondissement). Alors un peu de respect que diable, et surtout de prudence, qu’au moins l’expérience du premier confinement vous serve.
Car oui, il s’en est passé de drôles au printemps dernier. Exemple avec ce triathlète, banquier de son état, vivant à Annecy9 : lui, direct on le classe dans les Punks abrutis. Appelons-le Jean-Charles ; Jean-Charles a continué son entraînement comme si de rien n’était pendant le confinement, en s’en vantant sur Strava, en insultant les éventuels sportifs qui y trouvaient à redire, et en se moquant copieusement des forces de l’ordre. Lesdites forces de l’ordre l’ont bien contrôlé à plusieurs reprises, mais il trouvait chaque fois une excuse à leur servir – le banquier a du bagout. Quelque peu excédés par Jean-Charles, nos amis les képis ont enquêté sur le Dieu du stade, ont réuni des preuves accablantes, l’ont convoqué et mis au pied du mur. Et un triathlète, au pied du mur, il est emmerdé, ce n’est pas un crossfiteur. Quittons les Alpes, direction les Pyrénées, pour retrouver un autre sportif, appelons-le Rémy cette fois, qui lui s’adonne au trail et au VTT10. Il squatte chez un pote entre Lourdes et Gavarnie, et s’adonne chaque jour à ses sports favoris, en abreuvant lui aussi les réseaux sociaux de ses sorties. Au Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne (PGHM), ça ne les a pas trop fait rire, d’autant plus que lui aussi narguait les autorités, dans le genre « Vous ne m’aurez jamais, ah ah ah ah ah » (rire sardonique du grand méchant dans James Bond). Bref, vous avez deviné la fin, bien sûr qu’ils l’ont eu le Rémy, et qu’il a écopé d’une bonne amende et sans doute d’une paire d’heures à se faire remonter les bretelles.
Ces anecdotes rigolotes, sauf pour Jean-Charles et Rémy, nous rappellent le fait divers qui a touché les militaires de différents pays à partir de 2017, lorsque Strava a mis en ligne la « carte mondiale des joggers »11. Cette fonctionnalité bien sympathique s’est révélée problématique, et même dangereuse, puisqu’elle a mis en évidence l’emplacement de plusieurs bases militaires plus ou moins secrètes à cause de l’entraînement des soldats équipés de GPS, montres ou smartphones connectés. Un non-sens semble-t-il de courir en étant connecté à des réseaux sociaux alors qu’on est un militaire en opérations extérieures, mais en même temps, c’est quand même con d’être en Afghanistan et de ne pas dessiner de jolies traces que les copains restés au pays vous jalouseront.
Retour à nos montagnes françaises : le PGHM qui traque les contrevenants sur les balcons sud de Chamonix, la gendarmerie en VTT sur les pistes forestières de Chartreuse, tout ça c’est du vécu. Et quand tu es un usager régulier de la montagne, ça te fait quand même pas mal râler de voir des unités spécialisées dans le secours en montagne ou dans la protection des personnes être détournées de leur activité normale pour traquer des promeneurs qui ne présentent absolument aucun risque pour personne. À part peut-être pour eux-mêmes. Le 19 mars, pendant le premier confinement donc, deux jeunes Grenobloises sont parties en randonnée alpine sur le Néron12, un énorme éperon rocheux surplombant Grenoble et réputé difficile d’accès. Elles ne sont pas du tout inexpérimentées, mais ça n’empêche pas l’une des deux de dévisser dans un couloir. Alerté par l’autre jeune femme, le PGHM, arrivé sur place, n’a pu que constater le décès de l’accidentée. Un drame, la faute à pas de chance. Certes les jeunes femmes n’avaient pas le droit d’être là, mais quand bien même elles l’auraient eu, cela aurait-il changé la donne ? Autre question : ne sont-elles pas allées à cet endroit précis justement à cause du confinement, pour échapper aux radars, être le plus discrètes possible ? Le seul mot juste, c’est celui du responsable du PGHM : « Il s’agit de ne pas engorger les services hospitaliers qui doivent rester mobilisés pour la lutte contre le coronavirus. » Et si lors du premier confinement ces incidents et accidents sont restés très rares, ils semblent plus nombreux actuellement, avec par exemple le 3 novembre deux secours héliportés13 de randonneurs sur les secteurs de Sallanches et Talloires (Haute-Savoie). Si la victime de la seconde chute a pu être secourue, la première est décédée avant l’arrivée des secours.
Voilà ce qui est reproché par anticipation, un peu comme dans Minority Report14, aux sportifs outdoor : le risque d’accident et de blessure, et de ce fait la mobilisation de moyens médicaux qui ont déjà sacrément du pain sur la planche avec le coronavirus. Bien sûr, la blessure ça n’arrive qu’aux autres. C’est ce qu’on se dit tous, une espèce de mantra qui à force d’être répété en boucle dans notre inconscient finit par nous convaincre. Oui, jusqu’au jour où… Le 31 octobre, deuxième jour du second confinement donc, quinze pompiers de l’Ain partent en intervention… dans un canyon. Deux sportifs ont en effet trouvé que ce serait vachement chouette une sortie canyoning en mode « seuls au monde », et aussitôt dit aussitôt fait. Sauf que l’un d’eux se pète une cheville lors d’un saut, et est incapable de se sortir du merdier. Intervention de quinze pompiers et de l’hélico15 – on ne vous raconte pas la branchée qu’ils ont dû se prendre. Donc oui, bien sûr, être un Punk de l’outdoor, c’est bien, mais on l’a vu, mieux vaut être un Punk futé (la discrétion) et bien choisir son sport (qui tend vers zéro risque).
Exit donc, pour leur aspect risqué, le canyoning, les randonnées alpines un peu trop engagées, l’alpinisme, la spéléo et le VTT downhill (DH ou VTT de descente, la fête des clavicules et poignets, sans doute le sport populaire le plus accidentogène16). Cette fois pour des raisons de discrétion, on évitera également les balades à dos de cheval, le parapente et le deltaplane (pool !), le rafting et les autres sports d’eau vive, la voile (oui oui, même en Optimist). On pourra, selon les secteurs, envisager l’escalade (éviter les grandes voies ou les parois au bord de la route), le VTT typé enduro à sa mémère, le surf sur des spots paumés. Et on retiendra dans les sports les plus simples à mettre en œuvre en cette période de confinement la randonnée et le trail (préférer les sous-bois aux arêtes exposées aux regards… et aux chutes), le vélo de route en mode lousdé sur les routes communales (on évitera le Lautaret, par contre le Col de la Machine y a moyen), la natation en rivière, lac ou mer, en restant près du bord, c’est plus secure et plus discret. Et puis bien sûr le sport maître dans l’art de la discrétion : l’apnée – évitez tout de même de rester plus de 10 minutes sous l’eau, même si les gendarmes sont sur la rive, ça risque de mal se finir.
Et puis on peut sortir le joker spécial second confinement, celui qui fait grincer des dents ou des défenses dans les chaumières et les tanières : la chasse17. Eh ouais, le lobbying, ça fonctionne du tonnerre, les chasseurs ont le droit dans certaines conditions de « prélever » du gibier qui n’a rien trouvé de mieux qu’à faire des gosses pendant le premier confinement, tout peinard qu’il était dans ses forêts. Tu m’étonnes que Dudule le sanglier, il a dû s’en donner à cœur joie au mois de mars. Bref, si tu as encore le fusil de ton grand-père dans le grenier, c’est le moment de le sortir, il en relève de l’intérêt général nous a dit notre leader suprême.
Autre passe-droit, mais sans doute plus acceptable moralement et éthiquement parlant, celui-là : l’autorisation pour les professionnels des activités sportives de poursuivre leur entraînement18. Ainsi étudiants en STAPS, éducateurs sportifs, guides de haute montagne, moniteurs de ski, accompagnateurs en montagne ont le droit d’outrepasser la règle des 1 heure/1 km pour leur entraînement. Bon, si tu n’es pas encore un guidos, ça va être chaud de le devenir en moins de 15 jours, mais tu sais ce qu’il te reste à faire, il n’est pas dit que les confinements s’arrêtent dans les prochains mois…
Encore une astuce, cette fois pour les travailleurs en présentiel : profiter de son trajet domicile-bureau pour faire du sport. Ton bureau est distant de 8 km ? Deux séances de course à pied d’une heure, et te voilà le roi du biquotidien, dans deux mois tu tournes le marathon en moins de 3 heures. Tu bosses à 18 km de chez toi ? Bim, 36 bornes de bike par jour dans les chaussettes ! Et selon ton boulot, tu peux également effectuer d’autres trajets (fournisseur, client…) sur ta monture préférée, pour le peu que tes interlocuteurs ne soient pas trop incommodés par ton accoutrement ni par l’odeur. Pour les plus motivés, et si la configuration le permet, tu peux même te rendre à ton boulot… en nageant19. Genre tu habites le Val-de-Marne, tu bosses dans Paris XIII, jette-toi dans la Marne en bas de chez toi, et ressors-en huit bornes plus loin au pied de ton bureau. Un sac étanche fera l’affaire pour ton costard et ton imac. Merci qui ? Dans tous ces cas, n’oublie pas l’attestation de ton employeur20 qu’il faudra présenter aux gendarmes ou policiers en cas de contrôle.
Sur l’attestation de déplacement dérogatoire, la mention « Déplacements brefs, dans la limite d’une heure quotidienne et dans un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile, liés […] aux besoins des animaux de compagnie » n’aura échappé à personne. Un sacré bon plan pour sortir incognito, au petit trot, l’alibi au bout de la laisse. Si tu as déjà ton fidèle compagnon à quatre pattes, nickel, sinon bah il suffit d’en adopter un ! Les sexagénaires pépères se seront tournés vers le petit modèle, peut-être un peu braillard mais pas trop gourmand en effort non plus, alors que les sportifs compulsifs auront visé le Husky qui doit courir ses 12 km par jour sous peine de dévorer la moitié des meubles du salon. Et du coup, forcément, pour les besoins naturels du chien, les nouveaux maîtres doivent courir 12 bornes avec lui, pas le choix hein monsieur l’agent. Conséquence directe du premier confinement : les adoptions de chiens en refuge ont grimpé en flèche21 et les achats chez les éleveurs ne sont pas en reste. Est-ce bien ? Pas si sûr : les animaux adoptés pendant le confinement ont vécu de manière très rapprochée avec leur nouveau maître… mais cette proximité s’est évaporée dès le 12 mai. Le chien ou pire le chiot n’est alors plus au centre de l’attention familiale, il vit des périodes de solitude qu’il n’avait pas encore connues, et des désordres psychologiques sont à craindre22.
Une autre solution pour profiter du prétexte canin sans en adopter un ? C’est évident : loues-en un le temps de ta sortie ! De la même manière que tu peux t’offrir une escort le temps d’une soirée, tu peux t’offrir un chien le temps d’une promenade. Attention, ce service qui semble offusquant en première instance existe en fait depuis longtemps, par exemple chez empruntemontoutou.com23 : il permet, normalement, de mettre en relation des maîtres qui n’ont pas la possibilité de promener suffisamment leur animal (travail, état de santé…) et des personnes qui n’ont pas la possibilité d’avoir un animal chez eux (trop petit logement, allergie du conjoint, finances…). C’est un deal win-win : tout le monde est content, les maîtres font garder, promener et socialiser leur animal alors que les emprunteurs vivent des moments uniques avec un clébard sans en subir les désagréments. Mais bien évidemment, pendant le confinement, ce service honorable a été détourné pour louer des animaux à des personnes s’en servant pour sortir sans risque d’amende. On n’a pas pu recueillir l’avis des Médor, Brutus et Belle, mais finalement, si ça nous choque nous, pas sûr qu’eux aient à s’en plaindre.
Bon, si avec toutes ces suggestions, tu ne trouves pas ton bonheur pour sortir faire du sport en pleine nature sans raquer tes 135 boules, il te reste la solution ultime : faire partie du gouvernement24. Gérald Darmanin, Ministre de l’Intérieur, a en effet été surpris en train de faire son jogging à plus d’un kilomètre de chez lui (Tourcoing). Magnifique exemple de « Fais ce que je dis, pas ce que je fais ». L’excuse, parce qu’il y en a une : le choix du parcours relève de contraintes de sécurité – le lieu du délit est « un endroit reculé, fermé à la circulation, qui évite une agression d’opportunité. » C’est quand même beau, l’exemplarité qui vient d’en haut : toujours avoir une excuse en béton à sortir lorsqu’on se fait prendre la main dans le sac.
Par Emmanuel Lamarle
Lien utiles :
1 : Bien évidemment, ça vaut également pour les Marseillais, Lyonnais, Lillois, etc. Tous les citadins en somme. Et on vous taquine mais on vous aime bien, sans vous nos stations de ski feraient comment pour tourner ?
2 : Premier confinement en France du 17 mars au 11 mai 2020, le second a débuté le 30 octobre.
3 : Vous pouvez en trouver un superbe exemple sur le groupe Facebook Bref je fais du trail, toutefois si vous n’avez pas suivi de stage d’au moins 7 ans de méditation thibétaine, on vous déconseille fortement de vous y rendre…
4 : Noël Tamini (Suisse) est le créateur du mouvement Spiridon et de la revue éponyme parue de 1972 à 1989. Il est l’un des initiateurs de la popularisation de la course à pied.
5 : Ma liberté de penser, chanson de 2003 de Florent Pagny, qui est un peu moins regardant sur sa liberté de payer ses impôts.
6 : « Dans le doute abstiens-toi » trouverait son origine dans le livre sacré des Zoroastriens attribué à Zarathoustra (VIIème s. avant J.-C.).
7 : Paysage Audiovisuel Français.
8 : Feuilleton américain des années 80 mettant en scène les tensions entre plusieurs familles californiennes. C’est de la merde en barre et ça a duré 2137 épisodes de 45 minutes. Le pouvoir créatif de l’humanité nous laissera toujours cois.
11 : https://www.france24.com/fr/20180129-strava-appli-joggers-carte-base-militaire-gps-secret-defense
14 : Livre de science-fiction de Philip K. Dick adapté au cinéma par Steven Spielberg, montrant un monde où des êtres prédisent les crimes qui vont survenir prochainement, permettant à une unité spéciale d’arrêter les futurs criminels avant leur passage à l’acte.
19 : https://www.20minutes.fr/planete/2111643-20170731-munich-rend-tous-jours-travail-nage
20 : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R57405